Ah, cela faisait longtemps que je n’avais pas proposé de nouveaux ateliers d’écriture à partir d’album qui sert de déclencheur pour inviter les élèves à écrire facilement par les contraintes imposées.
Lire la suite[Atelier d’écriture] Le jeu Dixit, déclencheur d’écriture
Le jeu Dixit (jeu de plateau tout public) peut être détourné de son utilisation principale pour en extraire uniquement les cartes illustrées qui sont de toute beauté et d’une infinie richesse. Je vous propose ici quelques pistes d’utilisation pour en faire des déclencheurs d’écriture.
Les cartes du jeu, telles de vraies illustrations de littérature jeunesse, sont sublimes mais elles ont surtout l’avantage d’être très ouvertes. L’imagination sera donc le vecteur pour les élèves afin de créer des textes autour de ces images. Souvent fantastiques ou poétiques, ces illustrations feront voyager les élèves dans un monde méconnu.
Ecrire une poésie pour la fête des mères – cycle 3
NOUVEAU : Nouvelle poésie pour une nouvelle fête des mères (ou des pères).
Inventer une poésie pour la fête des mères, l’idée est évidente. Je vous propose simplement ici un petit poème avec une trame assez simple et plutôt sympa pour lancer les élèves dans l’écriture.
L‘idée, c’est aussi d’en avoir plusieurs sous la main (histoire de ne pas faire le même chaque année), alors si vous avez en stock d’autres poèmes avec une trame répétitive qui pourraient fonctionner pour la fête des pères ou la fête des mères, n’hésitez pas à me les envoyer, je les mettrai en forme et les ajouterai ici.
Bonne fête à toutes les mamans.
[Atelier d’écriture] La grande fabrique de mots – Cycle 3
Si vous n’avez jamais lu « La grande fabrique de mots » alors vous avez raté un des plus jolis albums que je connaisse. Depuis que je l’ai lu, je rêvais de faire cet atelier d’écriture.
En quelques mots, voici le début de l’histoire : « Il existe un pays où les gens ne parlent presque pas. C’est le pays de la grande fabrique de mots. Dans cet étrange pays, il faut acheter les mots et les avaler pour pouvoir les prononcer », et le récit vient s’appuyer sur cela en suivant l’histoire d’un petit garçon qui ne peut pas s’acheter tous les mots qu’il souhaiterait, alors ceux qu’il a prennent une valeur inestimable.
Mon atelier d’écriture, au contraire, s’arrête sur ce premier constat : si dans ce pays, on achète les mots, mais à quoi ressemblent les magasins ?
Une fois n’est pas coutume, je me suis fendu d’un petit dessin pour illustrer mon magasin de mots. Les élèves sont les marchands, ils doivent proposer des mots à mettre dans chaque boîte à vendre : les mots doux, les mots en solde, les mots précieux, les mots de tous les jours, les mots à murmurer…